Le ministre Eric KAHE, président de l’AIRD, pour qui « l’acquittement du président Laurent Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé est à mettre au compte de la détermination du peuple ivoirien, et plus particulièrement des femmes qui ont su allier loyauté, fidélité et défense des valeurs » a tenu à féliciter les femmes pour le rôle constant dans la sauvegarde de la Nation et de la République, prises en otage par le népotisme, l’autocratie, la corruption, etc.
Au cours de leur rencontre, les Femmes de l’AIRD ont procédé à une réflexion profonde et à un bilan sans complaisance de l’implantation du parti et se sont engagées à intensifier leur action de ratissage et de réorganisation de toutes les structures locales de l’UFAIRD. Elles ont pour cela adopté la feuille de route du comité ad-hoc mis en place par le dernier Bureau Politique du parti.
Les Femmes de l’AIRD condamnent, avec une vigoureuse fermeté, les propos inacceptables récemment tenus par une actrice politique supposée de premier plan, s’en prenant de surcroît à d’autres femmes.
C’est pour cela que les Femmes de l’AIRD condamnent, avec une vigoureuse fermeté, les propos inacceptables récemment tenus par une actrice politique supposée de premier plan, s’en prenant de surcroît à d’autres femmes. Le silence des autorités, pour couvrir des défenseurs autoproclamés du régime, loin de les servir, est bien au contraire une sorte d’opprobre qui rejaillit sur la classe dirigeante ivoirienne. C’est pour cela que l’UFAIRD appelle à la cessation de telles pratiques.
L’UFAIRD appelle également le gouvernement à se pencher sur le cas de l’école ivoirienne, ou du moins ce qu’il en reste encore, afin que le spectre de l’année blanche qui plane du fait des nombreuses grèves, s’en éloigne.
L’UFAIRD appelle également le gouvernement à se pencher sur le cas de l’école ivoirienne, ou du moins ce qu’il en reste encore, afin que le spectre de l’année blanche qui plane du fait des nombreuses grèves, s’en éloigne et que la question des conditions de vie et de travail des enseignants ainsi que celles des élèves et des étudiants soit traitée avec moins de verticalité. La réduction de la corruption et l’arrêt de la gabegie au sommet de l’état peuvent, à elles seules, dégager des ressources suffisantes pour sauver l’école ivoirienne et bien d’autres secteurs.
Enfin, l’UFAIRD prend acte de la démission du président de l’Assemblée Nationale, tout en regrettant fortement que cette démission consacre l’absence totale de la séparation des pouvoirs qui n’est invoquée que pour instrumentaliser certaines institutions contre l’opposition.
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