L’inéluctable changement de la Côte d’Ivoire

Eric Kahe, ancien minsitre et président de l'Aird
Eric Kahe, ancien minsitre et président de l'Aird
Eric Kahe, président AIRD

Refuser d’agir, c’est démissionner et se rendre complice des échecs de la nation. Nul ne peut impunément se dérober à la responsabilité car la démission peut être individuelle mais  les conséquences d’une démission sont toujours collectives.
L’engagement peut revêtir plusieurs formes. Il appartient à chacun de choisir celle qui lui convient, de façon à mutualiser nos forces. Présider un parti politique n’est pas plus important que participer aux meetings, coller des affiches, diffuser des messages ou apporter une contribution financière, si modeste soit-elle. Contactez-nous en toute confidentialité, et nous agirons ensemble, par la voie exclusive des principes républicains, citoyens et démocratiques. À très bientôt donc, cher-e compatriote.

Eric KAHE
Président de l’AIRD

Eric Kahe, ancien ministre et président de l’AIRD

Des crises à répétition et des raccourcis vers des ambitions personnelles laissent nécessairement des séquelles dans la vie d’une nation. Déçus par les élites politiques dont nous faisons hélas partie, nos compatriotes se détournent à raison de la politique.
Mais cette démission est-elle la solution ? Quand les femmes et les hommes intègres tournent le dos à la nation, ils-elles la livrent aux prédateurs. C’est comme si le sel tournait le dos à la sauce ou même refusait de se laisser doser dans la marmite bouillante au motif que cette sauce serait chaude ou n’aurait pas de goût. Avec quoi, donnera-t-on alors du goût à la sauce ?

Tant que les femmes et les hommes de probité et tourné-e-s vers l’ardent désir de servir l’autre, se détourneront de la gestion de la chose publique, malheureusement la règle de la nature et du vide s’appliquera au détriment du peuple.

Pour notre part, nous sommes convaincus que dans un continent défavorisé sur le plan de l’éducation et où les cadres intègres manquent à l’appel, il est un impérieux devoir pour ceux qui ont eu la chance de bénéficier d’une formation de qualité, de la faire profiter à la nation entière. Les privations de nos parents pour nous permettre d’être formés exigent de chacun de nous de ne pas les laisser à leur sort peu enviable.

Adhérer à l’AIRD, c’est prendre rendez-vous avec l’avenir et les incontournables changements dont la Côte d’Ivoire ne peut faire l’économie. Notre formation politique souhaite que ces changements inéluctables soient pacifiques et nous nous battons pour cela. Plus que jamais, l’engagement est un devoir sacré que commandent les attentes de nos populations.

L’adhésion au projet qui changera la Côte d’Ivoire, en un [clic ici]

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