Déroulement des travaux de la première Conférence Nationale de l’AIRD

Le samedi 18 juillet 2015, s’est tenue, la première Conférence Nationale de l’Alliance Ivoirienne pour la République et la Démocratie (AIRD), sur convocation du président du parti, conformément aux dispositions statutaires. Selon l’article 9 des Statuts de l’AIRD, « Entre deux Congrès, la Conférence Nationale statue sur toutes les questions relatives à la vie du Parti et de la Nation inscrite à son ordre du jour ».

La conférence nationale est l’organe le plus important après le congrès. Les membres du Bureau Politique en sont  aussi  membres de droit.

Les travaux de cette importante instance de décisions se sont déroulés sous la présidence du président du parti et sous la direction du vice-président Georges Temanin, assisté des camarades

• Bernard Houlai Tiabas
• Solande Amoakan
• Dr Pierre Zaelei Doh
• Justin Oula

À l’ouverture des travaux, à l’initiative du  vice-président du parti, le camarade Georges Temanin, la Conférence Nationale a  observé une minute de silence en mémoire des membres du Bureau Politique et des responsables des structures de base disparus. Au seul niveau du Bureau Politique, l’AIRD a enregistré six (6) décès à de hauts postes de responsabilité.

Les travaux se sont déroulés en présence de nombreux journalistes de la presse nationale et internationale.

Après le mot de bienvenue du président, il a été fait lecture de l’article 7 des Statuts relatif aux organes du parti, suivi du rappel  des articles 19, 20 et 21 du titre IV des Statuts portant objet et fonctionnement de la Commission d’Arbitrage et de Contrôle (CAC) au sein de l’AIRD (Voir Annexes).

L’assemblée a ensuite procédé à l’élection des 21 membres de la  Commission d’Arbitrage et de Contrôle (CAC), conformément aux dispositions statutaires du Titre IV, ci-dessus évoqué.

Relativement au point 2) de l’ordre du jour portant sur la vie du parti, le président du parti a fait un exposé [détaillé] des faits (Voir Annexes) présentant :

• La situation du parti avant et après la crise postélectorale ;
• Les efforts de redressement et les comportements qui ont contrarié de tels efforts.

Des débats qui ont suivi, il ressort les actes forts suivants :

1. Une motion de soutien à la direction et au président du parti ;
2. Résolution portant sanctions disciplinaires ;
3. Résolution portant sur le prochain congrès ordinaire ;
4. Recommandation sur la redynamisation du parti ;
5. Résolution sur la situation sociopolitique.